J'ai crée ce support afin de partager mes poésies et autres textes
Mais également et surtout ceux d'amis(es) dont j'aime l'écriture.
J'espère que vous y trouverez votre bonheur.
Bonne visite et bonne lecture ! ...
J'ai crée ce support afin de partager mes poésies et autres textes
Mais également et surtout ceux d'amis(es) dont j'aime l'écriture.
J'espère que vous y trouverez votre bonheur.
Bonne visite et bonne lecture ! ...
Autres Textes ...
Ici d'autres textes de différents auteurs qui n'écrivent pas systématiquement et que j'aime beaucoup. Bonne lecture ! ...
Texte de mon ami Christophe Ponsard à mon égard
Il était un petit bonhomme aux cheveux d'argent qui m'a saisi le regard sur le trottoir.
Les notes, le son, la mélodie, c'est un univers, un monde, une planète à la gueule froissée envahie par la musique qui a surgit dans mes entrailles et plus laché.
Car mon très cher Jean-Marc quand je t'ai croisé, je savais que j'allais t'aimer et que ce jour ou nous FOULON ensemble la terre promise de l'amitié était venue.
Merci mon Jean-Marc !
Mois à la ligne - Micaïna Coquart
Elle n'a peur de rien
Mais un rien la fait rougir
Elle ne désire rien
Mais un rien la fait rêver
Elle ne dit rien
Mais un rien la fait chanter
Elle ne pense rien
Mais un rien la fait douter
Elle ne rit de rien
Mais un rien la fait sourire
Elle ne s'attache à rien
Mais un rien la fait aimer
Elle ne croit en rien
Mais un rien la fait espérer
Elle ne ressent rien
Mais un rien la fait pleurer
Un texte très fort de Clim Teffri-Chambellan
Ma chère humanité, je ne vois que tes larmes
Je n'entends que tes cris quand tu brandis tes armes
Je ne sens que le souffle de ton agonie,
Les plaies de tes fouets qui rougissent tes lits
Ma chère humanité, blottis toi dans mes bras
Parle moi de l'amour, ou bien ne parle pas
Laisse aller ton chagrin, n'aie pas peur de pleurer
Ce monde est dans tes mains, tu ne peux pas lâcher
Ma chère humanité, je veux t'entendre rire
Je veux voir dans les rues des balcons de sourires,
Je veux entendre au loin les chants de ta victoire
Te voir dormir en paix quand arrivera le soir
Ma chère humanité, ne renonce jamais
Tu es allée trop loin pour tout abandonner
Mais il est encore temps d'orienter ton chemin
De le faire serpenter vers le rêve commun
Ma chère humanité, dis quand viendra le jour
Où nous serons chez nous partout et pour toujours
Ne sommes nous pas chimères ? De quoi sommes nous faits ?
Est il donc impossible de s'améliorer ?
Ma chère humanité, contemple ton passé
Tu apprends peu à peu, mais tu fonces tête baissée
Dans une pièce sans mur, tu te trouves des coins
Si l'Homme s'est relevé, c'était pour voir plus loin
Ma chère humanité, ma tendresse est totale
Assez des sillons sanglants et des balles
Soyons le point d'appui, le levier est le nombre
Et pour mieux l'alléger, nous soulèverons le monde
Un temps pour tout - Elisabeth Dehors
Un temps pour tout,
Un temps pour prendre le temps,
Un temps pour s'arrêter,
Un temps pour rêver,
Un temps pour contempler,
Un temps pour louer la Création,
Un temps pour se poser,
Un temps pour se reposer,
Un temps pour le Silence.
Le fascisme - Citations de personnages connus
Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit :
C'est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser."
Françoise Giroud
​
La dernière ressource de la bourgeoisie est le fascisme, qui remplace les critères historiques et sociaux par des normes biologiques et zoologiques de façon à se libérer de toute restriction dans la lutte pour la propriété capitaliste."
Léon Trotsky
​
J'ai vu des démocraties intervenir contre à peu près tout, sauf contre les fascismes.
André Malraux
​
Non, cette menace (la barbarie fasciste) n'a pas totalement disparu. Aussi, appelons-nous toujours à "une véritable insurrection pacifiste" contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation de masse, le mépris des plus faibles et de la culture, l'amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous."
A ceux et à celles qui feront le XXIe siècle, nous disons avec notre affection :
Créer, c'est résister. Résister, c'est créer.
Stéphane Hessel
Apprivoiser la tendresse - Jacques Salomé
Je crois que la tendresse est un mouvement qui nous entraîne à suivre un chemin bordé
de sensations et de sentiments où se trouvent mêlés bienveillance, acceptation, abondon,
mais aussi confiance, stimulation, étonnement, découverte.
Pour suivre ce chemin, peut-être faut-il accepter de dépasser ses peurs, de sortir des préjugés,
d'affronter l'inconnu d'une rencontre.
Peut-être faudra-t-il plus simplement, plus difficilement aussi, accepter d'entrer dans le cycle de la vie.
La tendresse est une naissance à soi-même qui nous fait pénétrer dans le ventre émerveillé de l'éxistence.
Mon regard erre ! - Zardine Alouil
Toute grande et légère
Je vole, vogue et j'erre,
Dans cette ville que j'aime tant
Magnifique est le temps.
Mon regard est poétique,
Tout ce que que je vois sans hic.
Soudain au loin une belle tablée,
Faite de trois frizés, tous bronzés ...
Mon regard ne s'attarde pas,
Ma pensée vogue pas à pas.
Et j'arrive près d'eux :
Mes oreilles deviennent yeux :
" Et donc, t'as redoublé ton CP ? "
demande l'un.
" Oui, J'ai pété en lisant ! " Répond l'autre.
Je les imaginai, on ne peut plus furtivement,
deux, voire trois secondes,
parler philosophie ou accords de guitare.
J'aime la vie,
J'aime les gens
Et la légèreté de l'être.
Je m'en gausse encore
Et c'est de moi que je me moque !
Bilout - Que vous ai-je donc fait ?
Pourquoi m’avez-vous, pour toute ma vie, enfermé ?
Quel crime impardonnable ai-je donc commis ?
D’aucuns m’assurent que c’est pour me protéger
Qu’on m’a privé à tout jamais de ma liberté.
Et quoique non coupable me voici bien puni.
Vous laissez donc errer pléthore de criminels ?
Qui nous tuent, nous chassent impunément
Par suffisance, prétention ou pour de l’argent.
Nos assassins si je comprends bien on la vie belle
Alors qu’innocent de tout je suis dans ces cages
Votre monde est fou et peut être d’avantage.
Je ne supporte plus les verticalités métalliques
Du monde étriqué où il me faut tourner en rond
De cette exiguïté d’un espace famélique, diabolique
D’une geôle de cet Alcatraz où je me morfonds.
Rendez-moi de grâce ma liberté brisez les verrous
Des barreaux, des grillages qui me rendent fou.
Quand j’aurai recouvré ma savane, ma prairie
Ma forêt, les rivières, la profondeur du maquis
Vous viendrez me voir, je vous offrirai notre paradis
Le spectacle magique de notre liberté et de la vie.
​
Sonia Eva - Tartines de Petits mots
Virée nocturne ... hips ...
"J'ai envie
De rencontrer
L'homme de ma rue
Au coin d'ma vie
Au fond du bar
J'sais plus c'que j'dis
Il se fait tard
Toujours est il
Qu'il fait trop gris dans mon plumard.
J'ai envie
De rencontrer
L'homme de mon lit
Qui voudrait bien
D'moi dans sa vie
Et même un soir
Si c'est permis
A tout hasard
Toujours est il
Que je tangue au bout du comptoir.
C'est pas zoli
De boire la nuit
C'est pas une vie
Ma p'tite chérie
Carole Timotéo - Sans titre
Dans l'ocre adouci des pétales d'hier
une mésange prophétise les pages de l'aube
funambule sans bagage de sa plume nomade
elle dessine légère un nouveau paysage
​
La lumière entre les fleurs du jardin
s'est muée en chaleur de métamorphose
posant inexorablement chaque matin
des points d'interrogation sur le cours des choses
​
Des nuées d'insectes sous un soleil encore brûlant
percent le voile opaque des idéaux corrompus
ils dessinent la brèche d'un possible rêve
ils sont légers dans un ciel de fin de saison
​
La lumière entre les fleurs du jardin
joue avec les ombres sombres de l'arrière-raison
mais entre les fils tendus de l'araignée
le cosmos fait mille promesses de retour
​
Les papillons, libellules et autres zélés
nous parlent d'amour et de foi sans passion
c'est le temps des doutes et des remises en question
​
L'automne écrit encore l'éternité des choses
et nous montre dans le reflet tendu de nos âmes
le printemps comme unique solution
Danny. L Aimer
L’amour nous rend fragiles,
Au moindre battement de cils,
De la personne aimée,
Nous nous sentons troublés.
​
Et que dire, de ses confidences,
Qui parfois nous mettent en transes,
Notre imagination débordante,
Les rendant déroutantes.
​
Amour et raison, ne font pas bon ménage,
Et nous cherchons partout les bons présages,
Qui nous annonceraient bonheur à profusion,
Alors que dans notre esprit règne la confusion.
​
Un cœur aimant est souvent tourmenté,
Avec un grand besoin, de se savoir écouté,
Un seul sourire suffit à nous rendre confiance,
Et fait fondre d’un coup notre méfiance.
​
Il nous faut pourtant respecter,
De l’être aimé, toute la liberté,
Car l’amour ne doit pas être prison,
Afin de ne pas devenir poison.
C’est là, toute la difficulté,
Accepter toutes les vérités,
En évitant de juger,
Pour ne pas laisser le doute s’installer.
​
Ecouter avant tout notre cœur,
Qui ne connaît pas le leurre,
Suivre toujours notre instinct,
Pour nous guider sur le chemin.
​
Aimer sans attendre en retour,
Vaut bien un grand détour,
Aimer fait partie du Divin,
Et, donner ne sera jamais vain.
​
Alors, n’oubliez jamais,
Aimez, chérissez,
Et votre cœur sera écouté,
Et à l’unisson de la personne aimée.
​
Danny. L
© Tous droits réservés.
